La France compte plus de 300 000 sites potentiellement pollués et plus de 4 000 présentant une pollution connue susceptible d'engendre des risques sanitaires importants.
La réglementation actuelle paralyse les acteurs du secteur ne disposant pas des outils de gestion des sites pollués adaptés. C’est ainsi que, pour permettre à la fois une reconversion plus sécurisée des anciennes zones industrielles situées en périphérie urbaine et répondre aux besoins immobiliers urgents liés, un volet concernant les sites et sols pollués a été introduit dans la loi ALUR.
Un article paru dans le Bulletin Cheuvreux n° 82 – Janvier 2016, p. 30, à retrouver ici