La ville de Paris et de grands opérateurs du secteur immobilier ont signé, le 26 août dernier, une charte en faveur du développement de l’ urbanisme transitoire. Ils s’engagent à respecter huit grands principes. Certains visent à faciliter la mise en place d’une telle occupation : identifier les terrains disponibles, adapter le coût de l’occupation du terrain, mobiliser l’ensemble des autorités publiques pour accélérer l’obtention des autorisations, assurer un choix de l’occupant en toute transparence tout en diversifiant au maximum les activités au sein d’un site. D’autres tendent à maximiser les effets bénéfiques de cet urbanisme transitoire, en coordonnant leurs actions respectives, en s’inspirant de l’ensemble des bonnes pratiques environnementales ou encore en intégrant l’occupation temporaire comme nouveau mode de fabrique urbaine.
Retrouvez l’article d’Ophélie Bainville et de Romain Decompoix « Quels outils contractuels pour l’urbanisme dit ‘’transitoire’’», publié dans la Revue n° 1 (Mai 2019), en cliquant ici
La Charte en faveur du développement de l’occupation temporaire comme outil au service du territoire parisien est consultable sur ce lien