Même si les fonds friches mis en place par l’État dans le cadre du plan de relance, doublés par des mannes régionales, ont permis de « débloquer » nombre d’opérations, le recyclage de friches présente un niveau d’inconnus et donc de risques qui effraie les financeurs.
De retour au MIPIM, l’Etude Cheuvreux organisait le mardi 15 mars 2022, une table ronde sur le thème « Développer les friches : pour quels types de projets et à quelles conditions ? » animée par Michèle Raunet, avec la participation de Claude Bertolino, Severine Chapus, Olivier Colonna d’Istria, Stephan de Fay, Yann Doublier et Christian Mourougane.
L’Étude les remercie vivement pour la qualité de leurs interventions.
Rappelant sa conviction profonde, partagée avec l’ensemble de l’Étude, de l’importance de nouer des partenariats fructueux entre acteurs, Michèle Raunet a par ailleurs souligné l’introduction de la définition de la notion de friches dans la loi Climat & Résilience. Les intervenants, acteurs engagés, ont ensuite échangé sur les modalités pratiques du recyclage des friches, et sur les risques, notamment financiers, qui sont encourus.
Vous voulez en savoir plus sur leurs échanges ? Consultez sans plus attendre l’article « MIPIM – Recyclage de friches : l’amour du risque » paru dans Le Journal du Grand Paris du 15 mars 2022 [accès abonnés]