Outre sa valeur patrimoniale, la résidence principale est souvent le point d’ancrage de la famille. A ce titre le logement familial bénéficie d’une protection spéciale.
Selon la forme de leur union – mariage, pacs, concubinage – quand l’un des membres du couple décède, le survivant n’a pas la garantie de pouvoir conserver son logement.
Quelques conseils pour se protéger, selon la configuration familiale et la composition du patrimoine.
Retrouvez l’expertise de Karine MARQUEZ dans l’article « Garder son domicile après le décès de son compagnon » de Sophie MICHELIN-MAZÉRAN, paru dans Le Particulier n° 1217 – Mai 2024 [accès abonnés]